15&16 mai – Circuit des villages blancs et Nerja

Nous quittons Séville pour nous rendre à la station balnéaire de Nerja au sud de l’Andalousie en passant par la route des villages blancs.

La route des Villages blancs est un itinéraire allant d’Arcos de la Frontera à Ronda.
La route parcourt de nombreuses communes de la province de Cadix situées autour d’El Torreón, sommet de 1 654 mètres, dans une région de sierras couverte, selon l’endroit et l’altitude, de vergers d’oliviers, de champs de blé et de tournesols, de chênes ou de sapins d’Andalousie.
Les villages que la route croise, situés à flanc de montagne, au bord de falaises abruptes ou au contraire au fond d’une vallée, ont souvent eu de ce fait, historiquement, une position stratégique importante. Cette position privilégiée et la blancheur de leurs maisons peintes à la chaux sont pour beaucoup dans la renommée de la région.

Nous faisons une première halte au village de Zahara de la Sierra.


Il est niché autour d’un magnifique éperon rocheux culminant à 605m d’altitude et dominé par une tour du XVème siècle (la Torre del Homenaje), édifié sur les vestiges d’une forteresse maure.
Ce bastion musulman a été l’un des derniers à tomber en 1483 après avoir résisté pendant 150 ans sur la frontière qui le séparait du bourg chrétien d’Olvera.

Il domine un lac aux eaux turquoises créé par la retenue d’un barrage, ce qui exalte encore le cadre de ce pueblo blanco d’Andalousie et la vue magnifique qu’il offre.

Nous poursuivons notre voyage en franchissant le Mirador Tugate de los cielos, où nous avons une magnifique vue sur la région.

Nous faisons une seconde halte au village de Grazalema, où nous déjeunons. Il est perché à plus de 800m d’altitude et s’étale sur les flancs rocheux et accidentés de la Sierra de Grazalema. Le cadre de la montagne est magnifique et le village est connu pour sa production ancestrale de couvertures de laine, de miel et de fromage.

Notre troisième et dernière halte est le village de Ronda, l’un des plus beaux villages blancs du sud de l’Espagne, renommé pour son caractère romantique.
Ronda est une ville installée au sommet d’une montagne. Elle surplombe El Tajo, une gorge profonde qui sépare la nouvelle ville, établie vers le XVe siècle, de la vieille ville, datant de l’occupation mauresque. Puente Nuevo, un pont de pierre enjambant la gorge, offre un point de vue sur les environs. Dans la nouvelle ville, les arènes historiques pour corrida Plaza de Toros, datant du XVIIIe siècle, constituent l’un des monuments les plus significatifs de la ville.

Il y a beaucoup de monde dans cette petite ville très touristique. Pour nous éloigner un peu de la foule, nous décidons de faire le tour de la ville à pied. Depuis la Plaza de Espana, nous nous rendons au Puente Nuevo (Pont Neuf) où la vue est saisissante à 120 mètres de hauteur au dessus de la gorge du Tajo de Ronda.

Nous traversons ensuite les Jardines de Cunenca pour atteindre le Puente Viejo (Pont vieux).

Nous continuons notre chemin en empruntant le Sendero Los Molinos où nous avons une vue imprenable sur le Puento Nuevo.

Nous remontons ensuite le sentier pour arriver dans la vieille ville de Ronda.

Nous reprenons la route pour nous rendre à Nerja, station balnéaire de la Côte méditerranéenne. Nous avons choisi cette station car elle a gardé un côté plus authentique contrairement à Malaga ou Marbella. Cette station est célèbre pour son fameux Balcon de l’Europe, jadis une forteresse où l’on surveillait l’activité des pirates britanniques. Le point de vue est sympa !

Le 16 mai, pour bien commencer la journée, et afin de découvrir les bords de mer, nous entamons un petit jogging de 10 kms. Nous faisons un aller/retour depuis le Balcon de l’Europe jusqu’à la Playa Calaceite.

Après un petit bain pour Erwan et une petite pause, nous nous rendons au village de Frigiliana, à quelques kilomètres de Nerja. C’est un village blanc tout en ruelles pavées et maisons chaulées, dont les portes colorées et les fleurs contrastent avec le blanc immaculé des façades.

Après une demi-heure de marche, nous nous rendons sur la colline El Fuerte qui surplombe le village. Elle fût le théâtre de la sanglante défaite finale des morisques (musulmans convertis au christianisme) lors de la rebellion de 1569. La vue sur le village depuis le haut de la colline est magnifique.

En fin d’après-midi, nous nous nous promenons dans la ville de Nerja et nous dînons au restaurant « Le Papalo », très bonne adresse pour un gastro.

14 Mai – Running du matin – La Cathédrale de Séville & Le Palais Real Alcazar

Quoi de mieux que de découvrir les alentours d’une ville que de la faire en running ! Nous sommes donc partis de bon matin (vers 10h) pour un circuit d’un peu moins de 15 kilomètres pour découvrir quelques sites.

Nous longeons tout d’abord les berges du Rio Guadalquivir jusqu’au site de l’Exposition universelle de 1992.Elle a célébré le 500è anniversaire de la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb. Nombre de pavillons ont été rasés et remplacés par des bureaux. Parmi les structures restantes, le Pabellon del Futuro avec sa réplique de la fusée spatiale Ariane 4 incarne le mieux l’esprit du lieu.

Nous continuons notre footing jusqu’au Parque del Alamillo où de nombreux écoliers pratiquent leur sport dans un cadre sympa et naturel. Nous traversons le pont San Jeronimo pour retourner vers le Centre Ville par les berges. On passe à côte de la Torre del Oro. Cette tour de guet dodécagonale (XIIIè siècle) faisait partie des remparts élevés par les Almohades. Au fil des siècles, elle a servi de chapelle, de prison et de bureau de la Marine.

En début d’après midi, nous visitons la Cathédrale de Séville et la Torre Giralda. Comme nous avions décidé de partir au dernier moment, nous n’avons pas eu beaucoup de choix pour les horaires. Il est fortement conseillé de réserver assez tôt ces deux monuments.

Avant d’arriver à la Cathédrale, quelques photos de notre balade …

Fuente Farola

La Giralda, ancien minaret de la mosquée préexistante

Le minaret de la cathédrale, la Giralda, est la tour de la mosquée qui fut conservée après la démolition de celle-ci, lorsqu’elle fut remplacée par une cathédrale. La tour Giralda est haute de 104 mètres et vous pouvez la monter pour admirer une vue splendide sur le centre de la ville. Vous ne montez pas par un escalier, mais par un couloir incliné qui autrefois pouvait être emprunté par des chevaux. Tout en haut de la tour Giralda se trouve une statue en bronze de quatre mètres de haut. Cette statue représente la foi et est surnommée le Giraldillo. La statue tourne avec le vent et a donné son nom à la tour (Giralda = girouette).

Nous gravissons les marches de la Tour et la vue sur Séville est magnifique.

Catedral de Santa María de la Sede

Le nom officiel de la cathédrale de Séville est « Catedral de Santa María de la Sede » et après la basilique Saint Pierre de Rome et la Cathédrale Saint-Paul de Londres, c’est la plus grande église au monde. Ainsi, c’est la plus grande cathédrale gothique au monde.

La cathédrale de l’archevêché de Séville a été construite à l’endroit où se trouvait à l’origine une mosquée maure des Almohades. En 1248, cette mosquée fut conquise sur les Maures et mise en service comme cathédrale. Au 13ème siècle, cette mosquée fut démolie à l’exception du ‘Patio de los Naranjos’ (le patio des orangers) et de la tour Giralda. En 1403, on commença la construction de la cathédrale et en 1507 la cathédrale fut enfin consacrée. La cathédrale de Séville a été construite comme une église en croix avec cinq nefs et des chapelles. À l’intérieur, la cathédrale mesure environ 127 mètres de long, 83 mètres de large et 43 mètres de haut.

Certains sites importants lors de la visite sont :

  • Tombeau de Christophe Colomb. Sa dépouille a été transférée de Cuba à Séville en 1898 et se trouve actuellement dans ce mausolée avec un cercueil en bronze qui est porté par quatre personnages qui symbolisent les royaumes de Castille, Léon, Aragon et Navarre.
  • La chapelle royale (Capilla Real), dédiée au roi Ferdinand III de Castille. Ce roi conquit Séville sur les Maures en 1248. Elle était fermée.
  • La Sacristia Major, vaste salle à coupole.
  • Dans la cathédrale, vous pourrez admirer de nombreuses peintures de Murillo, Goya, Pedro de Campaña et Luis de Vargas.
  • La Capilla Major, au coeur de la cathédrale, qui renferme la pièce maitresse, un immense retable illustrant des scènes de l’Ancien et Nouveau Testament (1000 personnes, 80 ans pour la réaliser)

En sortant de la cathédrale, nous retrouvons dans le Patio de los Naranjos. Une soixantaine d’orangers parfument ce patio ceint de murs fortifiés, un vestige de la mosquée du XIIè siècle. Nous sortons par la Puerta del Perdon, en arc en fer à cheval.

Nous poursuivons notre journée en nous rendant au palais Real Alcazar. C’est une visite à ne surtout pas manquer ! Ce palais est une merveille d’architecture de toute beauté !! Nous avons passé un moment merveilleux admiratifs de bout en bout !

Le Real Alcázar de Sevilla est le palais royal de Séville. Le nom ‘Alcazar‘ signifie château en espagnol et a été déviré du mot arabe al-qasr (forteresse ou palais). Le complexe de palais est en style Mudéjar : un style architectural avec de nombreuses influences des cultures maure et chrétienne. Il s’agit vraisemblablement du plus ancien palais encore en usage d’Europe : lorsque le roi Felipe V est en visite à Séville ce palais appartenant au patrimoine mondial de l’UNESCO est encore sa résidence.

Histoire du palais Real Alcazar à Séville

En 913, Abd-ar-Rahman III (le premier calife d’Al-Andalus) ordonna la construction d’un château à cet endroit, où originalement se trouvait un fort romain. Au 11ème siècle, le château fut agrandi par le roi Al-Moetamid (le dernier roi de la dynastie des Abbadides) pour en faire un palais. Au 14ème siècle, le palais fut reconquis sur les Maures, à la suite de quoi le roi Alphonse X de Castille fit agrandir le palais encore davantage. En 1364, le roi Pierre Ier de Castille (« Le Cruel ») ordonna la construction d’un nouveau palais, l’Alcázar, puis ses successeurs continuèrent à l’agrandir.

Points d’intérêts du palais royal de Séville

L’un des sites touristiques du palais Alcazar est le Patio de las Doncellas (photo). Dans le ‘patio des vierges’, un étang allongé est entouré de jardins encastrés et d’une galerie avec des voûtes dentelées avec accès aux salles de réception.

Le Salón de Embajadores (Salle des ambassadeurs) est impressionnant également, avec une splendide coupole en bois de cèdre travaillé.

Un autre bâtiment historique est la Casa de Contratación. Dans la ‘Casa de Contratación’ datant de 1503, le roi Ferdinand et la reine Isabelle recevaient entre autres l’explorateur Christophe Colomb. Tout le commerce espagnol avec le Nouveau Monde était administré ici et elle abritait aussi une école de navigation dirigée par Vespucci.

De plus, le complexe palatial dispose de beaux et vastes jardins: du style maure à celui de la Renaissance, avec de nombreux étangs, des arbres exotiques, des chemins ombragés et des pavillons.

Après ce moment de plénitude, nous dînons dans un restaurant de tapas. En ce qui concerne la cuisine espagnole, nous avons trouvé la cuisine bonne mais sans plus. Cela ne vaut pas la gastronomie française mais les tapas, c’est sympa !

24 août – Bouée sauvage sur le Lac Léman !

L’avant veille, nous étions passé au bord du Lac Léman et cette attraction nous a bien donné envie d’essayer …
Nous décidons donc de nous laisser tenter et nous réservons un petit tour d’une demi-heure sur une bouée tractée ! Nadège n’étant pas trop tentée, nous nous lançons donc à trois sur un rodéo de la mort !

Très sympa ! Un peu physique mais on s’est bien amusés ! Quelques vidéos pour vous faire rire !

L’après midi, nous irons nous baigner et nous préparons les bagages car la fin des vacances se profile … (Sniff !)
Mais on en a bien profité et c’est le but des vacances !

A bientôt pour de nouvelles aventures !

17 août – Via Ferrata Klettersteig de Murren à Gimmelwald

Pour cette journée, nous nous sommes lancés le défi de réaliser la via Ferrata Klettresteig de Murren à Gimmelwald. Longue de 2.2 km, celle-ci est l’une des plus ensorcelantes de la région. Elle s’hasarde sur les façades à pic jusqu’à Gimmelwald, offrant au passage une vue étourdissante sur la gigantesque Jungfrau. Avec ses échelles, ses câbles, son pont suspendu et sa vue saisissante sur le versant nord de l’Eiger, elle vous coupera le souffle dans tous les sens du terme.

Nous marchons sur un escalier à même la roche avec 150 mètres de vide dessous nous. Vraiment impressionnant mais magnifique !

Nous empruntons ensuite le pont de signe avec les bruits de la cascade dessous nous. Extra !

Nous continuons notre descente par de nombreuses échelles …

Et enfin, nous utilisons le « Népal Bridge » -> Des sensations fortes comme on les aime !

Un aperçu des nombreuses curiosités de la région
Vue sur les sommets depuis notre logement

24 & 25 août – Kayak et Randonnée Sentier Blanc Martel

De bon matin, nous partons au Lac Sainte Croix pour une balade en kayak sur le Lac et la rivière du Verdon.

Avec une superficie de 2200 hectares et un réservoir de 767 millions de m3, c’est le second plus grand lac artificiel de France et le plus grand lac du Verdon. Sa mise en eau a crée quelques controverses car il a fallu détruire plusieurs fermes et reconstruire entièrement le village de Salles-sur-Verdon un peu plus haut sur la rive. Sans compter les 2 ponts à construire et la vingtaine de kilomètres de routes à rétablir.

Nous avions décidé de commencer vers 10h pour éviter le bain de foule. En effet, la veille, nous nous étions aperçus que plus la journée avançait, plus la rivière devenait une autoroute à kayak ,canoë et pédalos ! Et comme nous ne sommes pas fans de la foule, ….

Petite vidéo pour commencer … Nadège débute !…

Juste pour rire un petit peu (mais sans se moquer bien sûr …) !

Le 25 août, nous entamons notre deuxième randonnée « Le Sentier Blanc Martel », randonnée qui est réputée la plus belle des Gorges du Verdon.

Durée : 6h30 – Distance : 12.9 km – Dénivelé : 727 m – Difficulté : Difficile

Cette randonnée à faire dans les gorges du Verdon remonte le fleuve par son lit. Elle suit le sentier Blanc Martel aménagé il y a près d’un siècle et qui constitue une section du GR4. Peu difficile physiquement, il comporte toutefois quelques sections vertigineuses.

De La Maline, le chemin passe le ravin de Charençon jusqu’à la colossale barre rocheuse du Pas d’Issane. S’ensuit l’Étroit des Cavaliers : ce passage étroit entre deux falaises de 300 mètres est un temps fort du tracé !

Continuez ensuite jusqu’à la Brèche Imbert et ses échelles fixées dans la roche. Le chemin remonte le Verdon à des altitudes variables. De belles plages de galets et des formations monolithiques spectaculaires rendent la progression inoubliable. Votre aventure s’achève peu après la traversée d’un long tunnel…

Le traçé n’est pas une boucle. Nous avions déposé notre véhicule au Point Sublime et nous avions réservé un taxi pour nous déposer au Chalet de la Maline pour débuter la randonnée. Nous évitions ainsi la foule qui prend le bus un peu plus tard.

Sur la route; nous apercevrons les restes de l’averse de grêle de la veille qui avait été relativement violente.

Nous rentrons chez nous par la rive droite où nous nous arrêterons à de nombreux belvédères (Trescaïre, Carelle, Escalès …) pour admirer les vues plongeantes sur les Gorges. Au belvédère de la Dent d’Aire, nous aurons la chance d’apercevoir des vautours volant au gré du vent.

Dernier petit arrêt : Visite du village de Moustiers Sainte Marie, LE village le plus connu de la région. Avec son ruisseau qui le traverse, sa promenade vers la cascade et la montée à la chapelle Notre-Dame-de-Beauvoir d’où vous aurez une vue sur toute la vallée, le lieu est très agréable pour se promener.

18 au 20 août – Randonnée glaciaire haute montagne à Gran Paradiso (4061m)

Le 18 août, journée de repos. Nous restons tranquilles à l’appartement et Erwan achète par précaution des boules Quiès !

Le 19 août, nous avons rendez-vous à 9h avec Philippe, notre guide, au parking du tunnel du Mont Blanc. Après 1h30 de trajet, nous parvenons au parking du Pont Valsavarenche près du camping Pont Breuil du Blanc, camping le plus haut d’Europe à 2000 mètres d’altitude. Nous nous situons dans la Parco Nazionale Gran Paradiso.

Le massif du Grand Paradis et son sommet éponyme (4061 m) se trouvent dans les Alpes occidentales. Réserve royale en 1856, il devient parc national en 1922. Cet itinéraire glaciaire réalise l’ascension du Grand Paradis, et se déroule sur des pentes de faible inclinaison (enfin, un peu, beaucoup tout de même!), sans difficulté technique. Idéal pour un premier 4000 m !

Nous prenons la direction du refuge Vittorio Emmanuel à 2735m que nous atteignons au bout de 3h de marche. Le refuge est très agréable et sympathique. Nous nous baladerons l’après midi autour du refuge.

Compte tenu de l’expérience nocturne de notre dernière randonnée, notre cher guide négocie une chambre seule pour Nadège et Erwan … quel soulagement !!! Les enfants quant à eux dormiront avec le guide.

Départ dans la nuit vers 5 heures après avoir pris un petit-déjeuner léger. De nuit, avec nos frontales, nous empruntons le chemin rocailleux de la moraine puis escaladons une petite falaise avant de nous retrouver sur un plateau pour admirer le lever du soleil.

Nous aurons marché pendant 1h30 avant d’arriver au pied du glacier où nous nous équipons.Nous devons impérativement réaliser l’ascension et son retour dans un délai de 5h, car les conditions de marche sur le glacier se dégradent rapidement avec le soleil. Pas de pression mais quand même …

Après 3h de marche (quelque fois à marche forcée .. même Erwan n’a pas réussi à faire une pause), nous arrivons au sommet à 4061 mètres d’altitude où le panorama est exceptionnel. Le temps est magnifique et nous avons une vue somptueuse sur le massif alpin. Quelques photos avec la Vierge ….

Nous entamons la descente avec quelques passages un « peu chauds » et nous faisons une pause pour un petit encas en admirant la vue et en profitant pleinement de notre chance ! Les efforts accomplis (surtout pour Erwan sur les 300 derniers mètres !) valent vraiment le coup !

Et la descente continue …

Nous arrivons vers 14h au refuge pour un bon repas chaud au soleil en terrasse. Nous redescendons ensuite en vallée et nous arrivons à Pont vers 17h après 2000 mètres de descente. On est content d’être arrivés !!

Sur le chemin du retour vers notre appartement, nous aurons la désagréable surprise d’être bloqués à l’entrée du Tunnel du Mont Blanc jusqu’à 21h pour cause d’accident dans celui-ci, cela n’entachera pas notre bonne humeur. L’expérience d’un sommet en haute montagne est vraiment inoubliable !!! Quelle belle journée en famille ! Quel sera le prochain sommet? On y réfléchira tranquillement… A suivre! (peut-être!)

15 au 17 août – Randonnée glaciaire haute montagne à Tête Blanche (3429m)

Le 15 août, nous passerons notre journée à organiser nos deux futures randonnées glaciaires en haute montagne. Nous aurons le plaisir de recevoir Sébastien du club d’alpinisme de la CAF de Cholet. Celui-ci a fait une petite halte à notre appartement pour nous déposer du matériel d’alpinisme (car il en faut beaucoup …). Merci à eux !

Nous préparons nos sacs avec tout le matériel : Casque, chaussure d’alpinisme, crampons, piolet, baudrier, bâtons de marche, lunettes de glacier, gants, bonnet, polaire, sac à viande, barres de céréales … Vive l’été ! On s’habille comme en hiver 🥶🥶 … Ils sont fous ces bretons ! Après une petite conversation avec notre guide, le célèbre Philippe Pouts, nous validons tout notre matériel.

Le 16 août, nous rejoignons notre guide à Argentière avant de nous diriger vers la télécabine Le Tour Col de Balme. Nous emprunterons un premier téléphérique qui nous emmènera de 1462m à 1850m (Charamillon) puis un deuxième téléphérique qui nous déposera à 2195m (Les Autannes).

Nous débuterons notre ascension vers 10h30 dans les nuages avec quelques gouttes et aucune visibilité sur les montagnes qui nous entourent. Au fait, qu’est-ce qu’elle disait la météo ?…Nous aurons le droit à quelques éclaircies qui nous permettront d’admirer le glacier sur la moraine avant d’atteindre le refuge Albert 1er à 2702 m. Nous pique niquerons au refuge en admirant la pluie … On espère que cela va s’améliorer pendant la nuit … (on croise les doigts !)

Nous aurons le droit en fin de soirée à une belle éclaircie où nous pourrons admirer le Col du Chardonnet et nous nous coucherons plus sereins.

Après une nuit agitée pour Erwan et Nadège (notre guide émettant des ronflements vraiment bruyants et autres bruits suspects …), les enfants ont pour leur part bien dormi, nous nous levons à 5h pour un départ vers 6h au lever du soleil. Il fait magnifiquement beau, pas trop froid et le spectacle est saisissant de beauté ! Nous sommes au dessus de la mer de nuages et nous profitons de ce merveilleux moment !

Après une demi-heure de marche dans un chemin rocailleux, nous arrivons au début de l’ascension et nous nous équipons. Ce sera toujours ça de moins à porter !

Nous voilà partis pour 700 mètres de dénivelé sur la glace !

Après 3h30 d’efforts, nous arrivons au sommet de la Tête Blanche à 3429 mètres. C’est trop beau !

Après de longues minutes à observer le panorama, nous entamons la descente jusqu’au refuge Albert 1er où nous déjeunerons.

En début d’après midi, sous un superbe soleil, nous entamons la descente et pouvons cette fois-ci admirer les paysages verdoyants de la vallée de Chamonix sans oublier le Glacier. Ce fut une formidable expérience et nous ne pouvons que nous réjouir pour la prochaine randonnée en haute montagne, prévue le sur lendemain !!! Notre guide nous a donné son feu vert!

20&21 août – Chamonix – Nos premiers vols en parapente

Le 19 août après midi, nous avons revu tous ensemble le plan de vol et bien préparer nos vols du lendemain. Nous nous sommes entraînés au sous-sol de l’école à l’utilisation de la sellette.

Le 20 août au matin, nous prenons le téléphérique de Plan Praz et nous retrouvons à 1000 mètres d’altitude au-dessus de la ville de Chamonix où se situe notre lieu de décollage. Notre premier vol se fera côté « Les Praz ». Un peu de stress tout de même pour toute la famille, même si Erwan et Nadège avaient déjà volé il y a une vingtaine d’année et qu’ils connaissaient ses sensations. Serions-nous un peu « fous » (non!) de laisser nos trois enfants seuls en l’air dans ces conditions? …

Au final, tout le monde était ravi! Nous avons pu réaliser deux vols avec des atterrissages plus ou moins bien réussis !

Le spectacle est grandiose et les efforts des trois jours précédant valaient vraiment le coup! Un beau moment de partage en famille alliant efforts, sensations, et beauté des grands espaces!

Des petites vidéos des décollages sur le premier site !

Simon
Erwan
Maxime
Jeanne
Nadège

Notre deuxième vol se fera côté Mont-Blanc et les images sont magnifiques !

Simon
Maxime

Après toutes ces émotions, nous retrouvons notre appartement pour prendre l’apéro sur la terrasse avec vue sur le Mont Blanc.

Le 21 août, nous partons pour notre deuxième journée de vols à Plaine Joux. Malheureusement, les conditions météo ne sont pas bonnes et nous ne pourrons donc pas voler. Nous rentrerons en fin de matinée et nous profiterons de l’après midi pour faire la randonnée « Versant Sud ».

Le lendemain, nous reprenons la route avec une petite halte chez une amie à l’Arbresle près de Lyon. Pour la première fois que nous passions nos vacances d’été en montagne en France, nous avons été ravis de ces deux semaines passées dans la Vallée de Chamonix, qui est une vallée magnifique !

17 au 19 août – Chamonix – Les débuts en Parapente

Nadège et Erwan avaient dans leur jeune temps (il y a plus de 20 ans) pratiqué deux stages de parapente. Profitant de cet environnement exceptionnel, nous avons décidé d’inscrire toute la famille à un stage d’initiation de parapente pendant 5 jours. Les 3 premiers jours permettent d’apprendre à gonfler la voile et à se diriger avec afin d’effectuer un bon décollage. Les 2 autres jours sont dédiés aux vols en solo, guidés par radio. (mais on vous expliquera tout dans un autre post)

Les 3 premiers jours, nous avons (un peu, beaucoup pour certains…) galéré à gonfler notre voile, la diriger et courir avec. Les après-midis, nous avons quelques heures théoriques sur l’aérologie, les approches d’atterrissage, la météorologie, le matériel… Globalement, au bout de 3 jours, nous y sommes tous arrivés, avec une mention spéciale pour Jeanne qui s’est très bien débrouillée et Nadège qui est devenue une « schtroumpfette », avec plein de bleus partout …

Et là quelques vidéos pour le plaisir !

Tout d’abord Jeanne ..

Et maintenant Maxime …

Puis Simon …

Ensuite, Nadège …

Et enfin, Erwan …

Et enfin, pour le fun… Pas simple quand les voiles s’entrechoquent! Pendant qu’on s’entraîne au sol, spectacle assuré au-dessus de nos têtes!

11 au 13 août – Sous le soleil de Stavanger !

Le 11 août au matin, nous quittons Bergen sous la pluie. Bon, autant vous le dire, question temps en Norvège sur les trois prochains jours, c’est la loose ! Il a plu quasiment tout le temps avec parfois quelques éclaircies…

Le trajet dure environ 5 heures. Nous prenons deux fois le ferry (1h et 30min) pour traverser les différents fjords. A travers les gouttes, nous pouvons apercevoir de jolis paysages.

Nous prenons possession de notre appartement à Klepp (Boretunet à Borestrand), à 30 minutes de Stavanger mais au bord de la plage. Cet endroit est réputé pour le surf ! L’appartement possède une jolie architecture mais manifestement trop petit pour cinq. Après quelques palabres, nous négocions que les enfants dorment dans une chambre à part. Cool .. un grand appartement (30m²) rien que pour deux. Nous profitons de la cuisine commune et de la PS 4 pour les deux grands. En fin d’après midi, pendant une courte éclaircie, nous faisons une balade le long de la plage.

Le lendemain, motivés (enfin les enfants !) bien qu’il pleuve, nous sommes à 11h devant l’école de surf … pour rien. La marée est haute et les vagues sont trop importantes. Il faudrait revenir en milieu d’après midi … cela ne colle pas avec notre organisation et la météo nous conforte dans notre choix !

Nous décidons de partir visiter Stavanger. Nous commençons par le Musée Norsk Oljemuseum, qui retrace l’histoire de l’exploitation du pétrole et du gaz en Mer du Nord par la Norvège de 1950 à nos jours. Très intéressant de part ses explications et ses différentes maquettes ! Ensuite nous nous baladons dans les différentes rues de la ville (sous la pluie toujours !).

Le soir, nous dînons en compagnie de notre hôte polonaise en dégustant des crêpes. Ensuite, petite balade sur la plage.

Le 13 août, nous roulons pendant 2 heures jusqu’au début de la célèbre randonnée du Kjragbolten, un gros rocher ovale coincé dans une crevasse entre eux parois écartés d’environ 2 mètres. Nous commençons notre randonnée en fin de matinée, motivés comme jamais. Il ne pleut pas encore …

Après une montée difficile (digne d’alpinistes), et 1h30 de marche, nous sommes confrontés à des conditions météorologiques dantesques : pluie, grêle, vent, froid, tonnerre, sols glissants. Nous décidons à l’unanimité de rebrousser chemin, avec un goût amer d’inachevé… Mais nous étions trempés et frigorifiés et cela commençait à devenir dangereux !

Bien contents de retrouver la voiture pour nous changer, nous re-goûtons au « pique nique car »! Nous patientons à Lysebotn jusqu’à 18 h dans un café en dégustant des boissons chaudes et nous embarquons dans le ferry direction Songesand où nous logeons. Pendant la traversée, le soleil est revenu et nous pouvons admirer ce fameux rocher depuis tout en bas ! Les paysages sont très jolis tout au long de la traversée ; ce qui nous réconcilie un peu avec la Norvège …

Le logement à Songesand est une grande maison où nous pouvons nous reposer et faire sécher toutes les affaires de randonnée. Très belle maison ! C’est frais et dispos que nous reprendrons la route le lendemain direction le Rocher de Preisketolen!

21 février 2019 – Le désert du Wadi Rum

Après une nuit glaciale dans notre hutte (on n’était pas bien organisé avec nos couvertures et peaux de bêtes, on fera mieux la nuit prochaine…), nous nous levons de très bonne heure ; et ce n’est pas un euphémisme ! Lever à 4h30 du matin, mais c’est pour une cause exceptionnelle !!!! (roulement de tambour …) Nous nous sommes offerts une petite folie : un vol en montgolfière au dessus du désert au lever du soleil !!! Eh là, mes amis, on en prend plein les mirettes !

Après 3/4 h de voiture, nous arrivons sur le site de décollage et nous attendons les professionnels de la société « RUM Balloon » dont le responsable est Khaled Shishani, seul autorisé à faire voler des montgolfières en Jordanie.

Nous assistons, impatients, aux préparatifs : pose de la nacelle et fixation au ballon, déroulage de la « voile », et gonflage de celle-ci avec des ventilateurs. Tout cela avec le soleil qui se lève et la lune qui se couche. Un moment d’exception !

Nous allons passer une heure au dessus du désert et admirer le paysage. Ce désert est très particulier car c’est un désert de sable mais avec de nombreux rochers ; ce qui en fait sa particularité.

Le Wadi Rum est le type du désert sauvage par excellence : des températures extrêmes, un soleil violent au petit matin, lorsqu’il mord à travers les siq (gorges, défilés). Le désert doit sa popularité à Lawrence d’Arabie qui y séjourna en 1917 durant la Révolte arabe, une campagne menée par le roi Hussein, contre les Turcs ottomans, dans le but de former une nation arabe indépendante. Le célèbre film « Lawrence d’Arabie » y fut tourné.

Après ce moment exceptionnel, nous rejoindrons la tente principale pour un petit déjeuner frugal puis nous embarquerons dans le 4×4 pour y découvrir les principaux sites du désert :
– Les Dunes Al Hasany où les enfants testeront le surf des sables (un petit souvenir lorsque nous en avions fait aux Great Sand Dunes aux USA pendant notre Tour du monde),
– Le Siq Khazali, étroit défilé où nous pouvons observer des inscriptions anciennes : paires de pied, femme en train d’accoucher …
-L’arche de Little Rock Bridge, qui offre un superbe panorama sur le désert,
– La Maison de Lawrence, où il ne reste pas grand chose de l’édifice et nous prendrons le thé sous la tente.

Nous ferons une halte à l’ombre puis au soleil (parce qu’il ne fait tout de même pas très chaud à cette saison). Notre guide nous préparera un très bon déjeuner au « barbecue » improvisé.

Nous continuerons notre périple en 4×4 dans le Djebel Mahraq, nous marcherons pendant 1 heure dans un Siq puis nous irons visiter la célèbre Arche de Burdah, qui est la plus imposante du désert et perchée à 80 mètres de haut. Nous traverserons de nombreux djebels, dont nous n’avons pu retenir les noms.

Nous finirons notre grande journée sur l’Arche d’Umm Fruth où nous attendrons pendant 1 h30 que le soleil se couche et pourrons admirer ce magnifique spectacle. Quelle chance ! Nous rencontrerons sur le chemin de nombreux dromadaires avec leurs petits. Charmant spectacle !

Bien fatigués, nous rentrerons au campement où nous dînerons. Maxime s’essaiera à la danse locale avec nos hôtes et nous discuterons (en anglais) avec les visiteurs présents au campement : des américains, des allemandes, des australiens et des français.

Pour bien dormir cette fois-ci, nous préparons bien nos lits : Couvertures et peaux de bête bien calés, polaire, leggings, gants … Avant de nous coucher en pleine nuit noire, nous admirerons le superbe ciel étoilé. Faites de beaux rêves …

11 au 18 août – Cortina d’Ampezzo (Les Dolomites)

Après ces quelques jours autour du Lac de Garde, nous reprenons la route en direction de Cortina d’Ampezzo. Nous longeons le lac de Garde sur toute sa longueur (avec quelques bouchons de départ/retour de vacances) puis nous remontons sur Bolzano (que nous décidons de ne pas visiter). Bien que Tom Tom nous indique une route plus rapide, nous prenons la fameuse Grande Route des Dolomites qui passe par plusieurs grands cols : Ortisei (nous nous arrêterons déjeuner dans le village typiquement bavarois),  la Sella, Pordoi, Arabba et enfin le col de Falzarego.

Nous arrivons en fin d’après midi à Cortina d’Ampezzo, une des stations de ski les plus chics d’Italie. L’appartement est situé dans un chalet de montagne, il est spacieux mais manque juste d’un petit quelque chose de chaleureux… Pas grave! Nous nous rendrons vite compte d’une mentalité particulière des habitants/touristes basée sur la démonstration de leur pouvoir d’achat. Pas très cool !

Hormis cela, nous avons passé une très belle semaine, sportive, sous le soleil avec des températures idéales pour les randonnées.

Le 12 août, après une visite de la ville le matin, nous sommes partis visiter le « Lago di Braies » à 1 h de route. A 1495 mètres d’altitude, ce  lac d’une belle couleur verte effleure le Massif de la Croda del Becco. Nous avons fait le tour du Lac et essayer le drône. De magnifiques panoramas et de très belles couleurs ! Seul bémol, un peu-beaucoup de monde…

Le lendemain, nous nous levons de bonne heure (6 h pour un départ à 7h – Nous ne le regretterons pas compte tenu des nombreux touristes qui commencent les randonnées vers 10 h) et nous entamons la randonnée des « Tre Cime di Lavaredo ». Nous marcherons 4h pour faire le tour  des Trois Cimes, trois montagnes très caractéristiques et icônes des Dolomites,  avec une vue époustouflante sur celles-ci depuis le refuge Locatelli. Pour ceux qui nous lisent et qui ont randonné au Parc torres del Paine au Chili, on pourra remarquer quelques ressemblances … Même les marmottes étaient au rendez-vous ! Les panoramas à 360° sont magnifiques et nous en prenons plein les yeux !!!

Les montagnes des Dolomites, inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco, sont vraiment particulières et de toute beauté ! Elles doivent d’ailleurs leur nom à un minéralogiste français, Dolomieu, qui étudia leur composition dans les années 1700 (la roche qui les compose et leur donne leur couleur contient autant de calcium que de magnésium).

Le mardi 14 août, comme la météo annonçait de la pluie, nous avons décidé de rester tranquilles à la maison … Cool, ce sont tout de même les vacances ! En fait, il n’a pas beaucoup plu … En fin d’après midi, les enfants sont allés s’essayer à l’escalade sur la plus grand mur d’escalade d’Italie (22 mètres de hauteur !!) Jeanne était aux anges et ils ont fait 3 montées dont une 5c et une 6a ! Trop bien !!!

Le mercredi 15 août, lever 6h30, nous prenons la direction du « Lago di Sorapis » pour un randonnée de 8h ! Nous monterons sur 900 mètres de dénivelé pour atteindre tout d’abord le lac, d’une couleur bleu laiteux surprenante, puis le glacier « Ghiacciao Occidentale » ! Que de beaux souvenirs de notre tour du Monde en revoyant ce petit glacier !!! Nous reviendrons par la route la plus longue à travers la forêt pour retrouver notre « Audi A6 » ! Belle randonnée sportive et fatigante pour toute le monde !

Le jeudi, lever à 6h30, pour nous rendre sur le massif du Tofane … Nous allons nous lancer pour la première fois dans l’ascension de deux Via Ferrata : la Ferrata Ra Pegna (niveau Easy) et la Ferrata Ra Bujela (niveau Medium). Nous avions loué notre matériel la veille : casques et baudriers. Pendant 5 h, nous avons arpenté ces deux gros rochers. Simon n’a pas trop apprécié et n’a fait que la première ; pour les autres, éclate totale !! Belle expérience et journée toujours aussi sportive !

Le vendredi 17 août, lever 7h (vous avez remarqué que l’on décalait l’heure de lever …), nous prenons la route du col de Giau et nous nous arrêtons sur le parking « Ru Curto » pour faire la randonnée de 6h du « Crado Da Lago ». Simon ne nous accompagnera pas sur cette randonnée car il la fera en courant depuis notre appartement (23kms en 4h) – Trop fort, ce Simon !!! Pour nous, nous en prendrons de nouveau plein les yeux, les panoramas sur les massifs autour de Cortina d’Ampezzo sont toujours aussi époustouflants !

Les après-midis, nous nous reposerons après tous ces efforts ! Les siestes sont les bienvenues et, la WIFI étant absente, nous en profiterons pour jouer à des jeux de société, pour le plus grand plaisir de tous, surtout de Jeanne!

Après cette très belle semaine, nous reprenons la route vers Venise le samedi matin …

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nos vacances au ski aux Arcs 1800 !

Une semaine à sept passée aux Arcs 1800 du 03 au 10 mars 2018 !

Erwan étant bloqué suite à la rupture de son tendon d’Achille, les autres ont pu profiter des pistes de ski sur le magnifique domaine des Arcs, que nous avons retrouvé avec joie ! C’est un des plaisirs qui avait manqué aux enfants pendant notre tour du Monde ! Erwan, quant à lui, se contentera de la piscine ; un bon début pour la rééducation …

On en profitera pour y fêter les 15 ans de Maxime.

Belle semaine, si on oublie les 17h passés dans les bouchons pour y arriver !

Jour 356 à 365 (29 juillet au 07 août) – Nouméa, derniers jours (snif!snif!) !

Le 29 juillet, nous allons visiter le centre culturel Jean Marie Tjibaou. Jean Marie Tjibaou (1936-1989, né dans la tribu de Tiendanite) a fait beaucoup pour la promotion de la culture kanak et  a été le premier président du Front de Libération National Kanak et socialiste. Il signera en 1988 les accords de Matignon qui apporteront un peu de calme sur le territoire. Il sera assassiné par un extrémiste kanak en 1989.

On peut y trouver de l’art néo calédonien et mélanésien ainsi qu’une sensibilisation à l’écologie. A l’extérieur, nous pouvons parcourir un chemin « Kanak » qui nous explique la végétation calédonienne et les traditions kanaks. Instructif et surtout une très belle architecture !

Le lendemain, sous un beau soleil, nous réalisons l’ascension du Mont Dore (772 m – 4h de marche). De très beaux panoramas sur la pointe de Nouméa et son lagon.

Après une journée tranquille, nous prenons le 01 août la direction du Grand Sud. Nous ferons une première halte aux Chutes de la Madeleine où nous randonnerons sur le chemin des Agathis avant de nous rendre dans la réserve naturelle de Cap N’Dua. Nous espérions pouvoir observer des baleines mais elles n’étaient pas au rendez-vous! La période mi-juillet, mi-septembre est la période où les baleines se reproduisent dans la baie de Prony. Sur la route, nous longerons une usine de traitement de nickel. Cette ressource est très présente dans le sol calédonien et il existe trois usines sur l’île principale. A noter que la chute du cours de ce métal rend la situation économique difficile.

Nous finirons la journée en randonnant sur le sentier de la pénitentiaire. En effet, la Nouvelle Calédonie fût un important centre de déportation pour les bagnards de 1864 à 1897.

Le 02 août, nous partons à 6h45, direction l’îlot du phare Amédée à 40 minutes en bateau de Nouméa. Nous voulions profiter de ce cadre exceptionnel pour découvrir ou redécouvrir la plongée avec bouteilles. Un grand défi pour Nadège ! Les enfants et Nadège réaliseront leur baptême de plongée. Trop beau ! Ils ont vu deux tortues avec leurs raies Mora, des bans de poissons chirurgiens et perroquets, de magnifiques coraux…. Quant à Erwan, après n’avoir pas plongé depuis 20 ans mais ayant son niveau 1, il effectuera deux belles plongées d’exploration dont une épave, un ancien démineur la Dieppoise. Un peu stressant au départ, mais cela s’est très bien passé ! Nous avons pu nous balader autour de l’îlot et monter en haut du phare pour découvrir de beaux panoramas. De plus, nous avons fait la connaissance des fameux tricots rayés, des serpents de mer, omniprésents ! Une magnifique journée !!

Le 04 août, nous décidons d’explorer une partie de la côte ouest : baie de Ouano avec le sentier de Méegiwé, le fort Teremba et son histoire, la plage de Poé (pour le pique nique) et enfin le sentier des 3 baies avec la plage de la Roche Percée. Le soir, nous ferons la connaissance d’autochtones, amis de Xavier et Armelle, pour notre plus grand plaisir.

Aujourd’hui, 05 août, nous rédigeons ce dernier article sur notre deuxième semaine à Nouméa …

Demain matin, nous prendrons l’avion pour Sydney, puis Doha, puis Paris avant de prendre le train pour Angers, dernière étape avant notre retour à la maison.

Nous vous posterons demain nos petits mots de la fin ! A très bientôt !!!!!

Jour 329 à 332 (02 juillet au 05 juillet) – L’ascension du Mont Fuji, quelle Aventure !

Le 01 juillet, direction Kawaguchiko en train avec un transfert à Otsuki … et là commence l’aventure du sac en papier ! Comme nous vous l’avions dit précédemment, Simon s’est acheté de superbes chaussures à Tokyo. Celles-ci ne rentrant pas dans son sac, il les a gardées dans un sac en papier avec sa parka au cas où il pleuvrait. Nous partons de Tokyo à 14h30, sans se tromper de quai ou de train (pas toujours évident de se repérer dans les gares car tout est en japonais !). A notre changement de train à Otsuki (temps pour sortir extrêmement court), nous nous rendons compte une fois sur le quai que le « fameux » sac a disparu ! Et là, nous élaborons toutes les hypothèses. Chacun se sent un peu responsable et Simon est dépité ! Mais surtout, personne ne se souvient où ce sac a pu rester : dans le train ou sur le quai à Tokyo ? Après un appel sans succès aux objets disparus à Tokyo et un appel pour vérifier dans le train, Erwan décide de retourner à Tokyo ! (3h de train A/R….) Il reviendra bredouille à 22h alors que les autres membres de la famille ont continué le trajet jusqu’à Kawaguchico et découvert notre chambre dans la guesthouse (futons, et confort à la japonaise).Nous sommes samedi soir et Simon n’a pas de parka pour monter le Mont Fuji le lendemain…

Heureusement, nous trouvons un petit magasin ouvert où une parka fera le bonheur de Simon ! Premier problème de résolu. Nous retrouvons notre guide Yosuke à 11h, direction la 5ème station du Mont Fuji où commence l’ascension à pied. Par acquis de conscience, nous demandons à Yosuke d’appeler les objets perdus. En effet, la communication est difficile car peu de gens parlent anglais. Eh là, miracle (alleluia !), le sac a été déposé par de gentils voyageurs à la gare de Kofu, où Erwan (encore lui?) se rendra à  notre retour du Mont Fuji (4h de bus en perspective) ! Simon est aux anges ! Mais c’est tout de même lui qui avait oublié son sac sous son siège….

Nous commençons à marcher vers 13h sous le soleil. La vue est splendide notamment sur les lacs de la région. La montée est rude et après 4h de marche, nous arrivons à notre refuge à la 8ème station (3360 mètres d’altitude, 1055 mètres de dénivelé, 6,2 kilomètres de marche). On est rinçé et il fait super froid !  A 17h30, on mange (curry dans une barquette en plastique…mouais) et à 18h, direction le dortoir … et là surprise, avez-vous déjà vu des sardines en boite ? Ce sera nous pour la nuit à venir !!!!! Confort réduit au minimum !!!! Même pas d’eau courante. Coucher à 19h et lever à 2h du matin. Les enfants ont dormi, les parents pas vraiment.

Nous reprenons l’ascension pour 1,3km, 400 mètres de dénivelé et 1h30 de randonnée en pleine nuit avec les frontales. Il fait toujours aussi froid. Heureusement, nous sommes bien équipés. Nous arrivons à 4h en haut du sommet (3776 mètres) et attendons le lever du soleil pendant 30 minutes.

On restera le temps d’admirer la vue puis redescendrons jusqu’à la 5ème station que nous atteindrons vers 9h, bien fatigués ! Un joli défi qui en valait la peine et bravo aux enfants !

L’après midi pendant qu’ Erwan retourne chercher le sac, repos pour le reste de la famille !Nous avons découvert un petit restaurant où les tartes aux pommes et le gâteau au chocolat sont succulents ! Quel bonheur !

Le lendemain, nous nous baladerons le long du lac de Kawaguchico.

Le 05 juillet, nous prenons le bus direction Mishima Station où le train pour Kyoto nous attend…


Jour 284 à 291 (18 au 25 mai) – Ko Samui, une île pleine de charme !

Nous arrivons le 17 mai dans l’après midi et découvrons la maison qu’Annick et Philippe ont eu la gentillesse de nous prêter. On se sent immédiatement très bien dans cette jolie maison avec piscine ! Un grand merci à eux !

Pendant cette semaine, nous allons en profiter pour nous poser, travailler pour les enfants, avancer la logistique du voyage pour les parents et bien manger (délicieux produits de la mer!) … Nous allons bien évidemment découvrir l’île qui est certes touristique, mais nous avions la chance de ne pas être en haute saison.

Le 19 mai, nous allons voir le Big Bouddha et le temple Wat Phra Yai. Ils sont plus kitschs que ceux que nous avons déjà vus mais c’est sympa de les découvrir dans ce cadre maritime. Nous nous arrêterons sur la plage de Ao Tong Son pour un petit bain dans une eau à plus de 30°C. Trop facile pour rentrer dedans ! Nous déjeunerons en bord de mer avant d’être rincés par une pluie d’orage ! En fin de journée, Nadège et Erwan iront découvrir le marché nocturne au Fisherman’s village. Petit village agréable où nous repasserons à plusieurs reprises ….

Le lendemain, c’est en 4×4 (et heureusement) que nous sillonnons la Jungle route 360 à travers l’île. Beaux panoramas ! Nous nous arrêterons observer les rochers Hin Ta et Hin Yai puis ferons une halte dans un petit village de pêcheurs Ban Hua Thanon avant de nous poser à la plage de Chaweng Beach.

Le 22 mai, nous partons en speedboat au Parc national d’Angthong. Au programme : snorkeling, kayak, plage et randonnées en faisant halte sur différents îlots. La vue du second sommet est splendide sur les nombreux rochers épars ! Elle se mérite car l’ascension est raide – 500 mètres de dénivelé sous une chaleur humide ! Une très belle journée !

Après les massages indiens un peu trop toniques, nous avons profité des mains expertes de thaïlandaises pour nous relaxer. Cool !

Le 24 mai, nous randonnerons pour atteindre la cascade Hin Lad Waterfall à travers la jungle (1h30 A/R) avant de découvrir la jolie petite plage de Coral Cove. Sympa !

Le lendemain, c’est déjà l’heure du départ. Nous n’avons pas vu la semaine passer …

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jours 235 à 240 (30 mars au 04 avril) – Les Maldives

Lorsque nous avons organisé notre voyage, nous nous sommes dit: »On ne passe pas loin des Maldives, ce serait dommage de ne pas y aller. » On ne se voyait pas venir y passer une semaine dans le cadre de vacances classiques. Nous avions quelques idées préconçues sur les Maldives, sur le fait que ce soit surfait et loin de la vision idyllique diffusée ! Nous allons très vite changer d’avis !!!…

Après avoir passé la journée du 28 mars à Sydney pour notre plus grand plaisir de retrouver cette ville, nous prenons l’avion direction Singapour (8h de trajet) et y arrivons vers 3h du matin (heure locale – 3h de décalage avec Sydney). En une heure, nous rentrerons à Singapour pour récupérer nos bagages puis devrons repasser la douane pour accéder à notre hôtel de transit. On est content, nous avons le tampon de Singapour sur nos passeports mais nous aurions pu optimiser l’organisation si nous avions su où se situait l’hôtel de transit, c’est à dire dans la zone d’embarquement. A 18h20, nous embarquons pour Malé, capitale des Maldives. Nous arrivons vers 19h45 (heure locale – 3 h de décalage avec Singapour) et nous nous dirigeons vers notre hôtel « le Ripple Beach ». Après une courte nuit (lever 5h45), nous découvrons une ville en chantier et nous dirigeons vers la zone d’embarquement des hydravions.Là commence le charme des Maldives !!!

Les Maldives sont composés de 1190 îlots regroupés en 27 atolls couvrant une superficie de 90 000 km².  La population est de 400 000 habitants de confession musulmane et appliquant les règles strictes de l’Islam. Du fait du développement du tourisme, le PIB par habitant est le plus élevé de l’Asie du Sud Est. Il est bien évident que la vie sur les îles hôtels ne représente pas le quotidien des Maldiviens. Nous nous sommes aussi interrogés sur les conséquences écologiques d’un tel développement en voyant notamment le nombre impressionnant de coraux morts et les déchetteries à ciel ouvert à Malé. Cependant, des efforts semblent entrepris par le gouvernement…

Nous attendrons dans un magnifique salon en dégustant notre petit déjeuner. Il est ensuite l’heure d’embarquer. Nous sommes une dizaine de personnes dans l’hydravion, direction notre îlot « Vilu reef ».(Ilot de 1 km sur 200 mètres) La vue sur les nombreux atolls est splendide !!!

Après 40 minutes de vol, nous débarquons sur un ponton où un bateau vient nous chercher. Sur l’île hôtel, le sens de l’accueil va jusqu’à nous accueillir par du personnel parlant le français. Nous nous rendrons compte tout au long de notre séjour de la très grande qualité du service proposé ! C’est vraiment exceptionnel !

Nous logerons dans deux très belles villas côte à côte face à l’océan. Nous allons nous laisser vivre et profiter des joies de la piscine, du snokelling, du badmington et du ping pong, des balades autour de l’atoll et de la qualité de la restauration . Simon a pu reprendre ses marques en planche à voile dans une cadre idyllique dans une eau à au moins 32°C. Maxime sera le gagnant d’une course de bernards l’hermites ! Nous rencontrerons même quelques animaux de notre connaissance : Raies et chauves-souris ainsi que de très jolis poissons (et même une murène !)

En un mot : PARADISIAQUE !!!

Un grand coup de coeur pour tous les cinq et une envie d’y revenir dans quelques années, si nous le pouvons !

 

 

 

 

 

Jours 193 à 197 (16 au 20 février) – Ile du Sud Nouvelle Zélande (Suite)

Le 16 février, nous prenons la direction de Wanaka. A midi, l’heure du défi a sonné !!!! (roulement de tambours …) Nous voilà tous les cinq équipés pour un vol en parapente au Treble Cone avec une vue époustouflante sur les sommets enneigés et le lac Wanaka ! Sensations garanties … et un grand plaisir pour tous les cinq ! Nous en profiterons pour déjeuner auprès du lac et nous remettre de nos émotions avec une petite sieste.

Puis direction Queenstown où nous dormirons près du lac Wakapitu à 20 kms au nord. Magnifiques couleurs du lac et des montagnes. Un paysage de rêve !

Le lendemain, nous visiterons Queenstown, charmante ville très touristique qui offre de beaux panoramas et des activités à sensations sur le lac. (Regardez la photo du bateau requin !) C’est une très belle région. L’après midi, nous reprenons la route pour nous installer pour la nuit près du lac Pukaki.

Le 18 février, nous randonnerons sur la Hooker Valley Track (3h) avec une vue dégagée sur le Mont Cook et le glacier Hooker. Nous verrons même des icebergs ! Pique nique sous le soleil au bord de l’eau. Une journée magnifique !

Le 19 février, nous arrivons à Christchurch dans l’après midi. Nous rendons notre « bête » à son propriétaire sans regrets (Pour la NZ, le camping car est parfaitement adapté pour de l’itinérant, mais on manquait tout de même d’espace au bout de 3 semaines …), et nous nous dirigeons vers notre hôtel en ville. Le lendemain, nous visiterons Christchurch, ville en pleine reconstruction suite au tremblement de terre de 2011. Ce tremblement de terre avait détruit une grande partie des bâtiments de la ville et fait 185 victimes. En ce moment, Christchurch reste très marquée et beaucoup de travaux sont en cours, ce qui lui donne malheureusement peu de charme.

A 18h30, nous prenons l’avion, direction l’Australie. Eh oui, notre périple en Nouvelle Zélande est déjà terminé !

C’est le premier pays où nous aurions aimé passé plus de temps, car malgré un rythme soutenu, nous n’avons malheureusement pas pu découvrir tous les endroits que nous aurions souhaités… On reviendra !

Jours 185 à 189 (08 au 12 février) – Ile du Nord Nouvelle Zélande (suite)

Après la nuit passée à Taupo, découverte des chutes de Huka Falls puis balade dans la ville. Pour nos deux amateurs de sensations fortes, Erwan et Maxime, il est temps de se lancer de 47 mètres de haut pour un saut majestueux à l’élastique !!!!! Impressionnant et le cadre était vraiment sympa ! Le reste de la famille a pu admirer l’élégance des sauts ! Dixit Maxime, il n’y avait pas encore assez de sensations ! Dixit Erwan, c’était déjà bien !

Nous prenons ensuite la route pour le Parc national Tongariro et nous dormirons à Urchin Camp dans le Kaimanawa Forest Park. Les paysages en Nouvelle Zélande sont assez grandioses : grandes étendues vallonnées avec des cultures et du bétail (vaches et moutons principalement), mais les montagnes abruptes et la mer ne sont jamais bien loin. A flanc de montagne, la végétation est très souvent luxuriante.

Le 09 février, départ à 6h45 pour la randonnée Tongariro Alpine Crossing, considérée comme la plus belle randonnée de Nouvelle Zélande réalisable sur une journée ! Nous parcourrons les 19,4 kilomètres en 6h30, 800 mètres de dénivelé positif et 1100 mètres de dénivelé négatif. Nous avons pu observer des paysages très divers : lunaires, lacs verts et bleus, cratères dont un rouge, grandes fumerolles en lien avec les phénomènes géothermiques, forêts et montagnes… Randonnée très agréable sous un temps mitigé !

Le soir, nous dormirons à Ohakune dans un camping pour gérer l’intendance : lessives, douches à gogo, électricité pour recharger les différentes batteries !

Le 10 février, on roulera vers Wellington et on s’arrêtera en route sur la Kapiti Coast dans la ville de Paekakariki en bord de mer. On sent en Nouvelle Zélande l’influence polynésienne, notamment au niveau des noms de villes.

Le lendemain, visite de la ville de Wellington, capitale de la Nouvelle Zélande. Nous commencerons par le musée Te Papa, qui retrace l’histoire du pays et de la culture Maori. Ensuite, après avoir dégusté une pizza (le coût de la vie en Nouvelle Zélande est cher !), nous déambulerons dans la ville avant de prendre le Cable Car vers les hauteurs de Wellington pour rejoindre les jardins botaniques. Nous finirons notre journée par les bords de mer avant de retrouver notre camping car. Nous sommes tombés sous le charme de cette ville, élue capitale la plus cool du monde par Lonely Planet. Nous ne serions pas loin d’être d’accord, malgré un aperçu limité de la ville !

Le 12 février, départ matinal pour prendre le ferry , direction l’île du Sud.

Nous réparons notre oubli, en vous joignant une photo de notre nouvel ami, le kiwi !

Jours 174 à 177 (28 au 31 janvier) – Mooréa

Nous quitterons Raivavae le 27 janvier pour Tahiti via Tubuai et Rurutu (2 escales). Eléonore nous a offert un collier de fleurs et un collier de coquillages ; certains en portent des dizaines autour du cou, ce qui les empêche presque de bouger le cou et de respirer !!… On passera la nuit dans un hôtel à Tahiti après avoir dégusté des galettes et des crêpes aux célèbres roulottes sur le port. Cela rappelait la Bretagne et les galettes & crêpes étaient vraiment bonnes !

Le lendemain matin, nous prenons le ferry pour Mooréa (45 minutes de traversée) et nous prenons possession de notre 58ème logement ! Une maison typiquement polynésienne en face du lagon, une grande terrasse couverte et une vue imprenable sur les eaux turquoises ! Accès direct à la mer depuis le jardin….un Rêve !

Nous passerons nos journées à profiter du lagon. En kayak, nous pouvons aller jusqu’à un endroit où nous pouvons nager avec des requins à pointes noires (des gentils !!) et des raies ! C’est magique et extraordinaire! On pouvait même toucher les raies, « trop doux « dixit Jeanne ! Nous sillonnerons l’île en voiture jusqu’au belvédère avec un joli point de vue sur les 2 baies très célèbres : Cook et Opunohu.

Ne vous étonnez pas des photos des raies et des requins qui ne sont pas de nous …nous aurions bien aimé pouvoir les photographier mais la Go Pro a souhaité rester au fond de l’océan à Raivavae. Grrrr !!!

Nous avons passé trois jours idylliques et reposants sur cette charmante île !

Le 31 janvier en fin d’après midi, direction Auckland en Nouvelle Zélande. Pour s’y retrouver, en ce qui concerne les décalages horaires, nous partons le 31 janvier à 17h35 et nous arrivons le 01 février à 22h35 en ayant eu 5h de vol. Nous perdons donc une journée et nous aurons ensuite 12h de décalage en plus par rapport à la France. (à 8h en France, il sera 20h à Auckland) Actuellement, nous avons 11h de moins … il y a de quoi s’y perdre !

En Nouvelle Zélande, nous allons expérimenter le camping car … donc il est possible que vous n’ayez pas beaucoup de nouvelles pendant nos 3 semaines de séjour (connexion internet ???) Nous  ferons bien sûr au mieux !